Pour ferre mes chevaux! [PV Taylaure]

Qaïs arriva chez la forgerone(je sais pas si sa existe au féminin!) qui était en même temps son amie. Il cogna à la porte et espéra grandement que ce soit Taylaure qui réponde et non son père. Le père de Taylaure lui faisait peur. Il était toujours très direct avec lui et c'est à peine s'il pouvait voir sa fille, si ce n'était que pour le ferrage de ses bêtes.
Malheureusement, se fut son père qui ouvrit la porte. Il prit son courage à deux mains et dit:

- Heu... Bonjour monsieur Damas. J'aurais besoin de votre fille pour ferrer mes...

- Non, elle est occupée, elle n'ira pas. Allez, retourne dans ton trou.
Qaïs baissa timidement la tête, bien qu'il était habitué à ce genre de réaction. Il tourna les talons et rajouta:

- Écoutez monsieur Damas, je peux comprendre que vous ne m'apprécié pas, mais faites au moins sa pour mes chevaux?

- Non, va t-en.

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 02/04/2006

Je n'étais pas très occuper pour le moment, je flânait dans mon atelier en cherchant du travail. Une belle voix, mais dont je n'entend que rarement me parcouri l'oreille. C'étais bien Quaïs, le palefrenier qui vient ferrer ses chevaux à l'occasion. J'étais heureuse de le voir, où plutôt de l'entendre. Enfin de la bonne compagnie, loin devant celle de mon père qui est très désagréable. Sans me surprendre j'entendit le cri de mon père. Il n'était pas encore pour refuser Quaïs. Nous on a besoin de travail et le palefrenier a besoin d'un forgeron. Quest'ce qui fait enrager mon père de la sorte et pourquoi n'a t'il jamais apprécier mon ami.

Je n'étais pas encore pour laisser faire mais en même temps je ne réussirai jamais à le faire changer d'avis. À moins que...... j'aide Quaïs sans que mon paternel le sache. Oui, c'est bien la solution, car dans le font, il n'y en a pas d'autre.

Avant que la porte puisse se refermer dans un claquement que seul mon père est capable de le faire, je sortis par la porte d'en arrière.

Mon ami était déja sur son cheval près à partir. Je me baissais avant de passer où les fenêtre de maison et je commençais à courrir pour le rejoindre.

-Attend, attend!!

Qaïs monta sur sa jument et la fit marcher, mais lorsqu'il entendit la voix de Taylaure il se retourna immédiatement.

- Tien, pile au bon moment!
Il regarda vers la forge pour voir si le père de son amie regardait toujours. Il ne voyait pas grand chose mais il savait qu'il l'espionnait. Il irait devrait donc y aller d'une manière subtile pour ne pas qu'il se rende compte que Taylaure est là. Il dessendit de cheval et fit semblant de resserrer sa sangle et ajuster la bride.

- Je suis content de te voir, sa fait longtemps qu'on s'est parlé! Est-ce que le travail va bien?
Il se rendit compte qu'il devait se dépêcher pour éviter de se faire surprendre. Alors il y alla directement.

- J'aurais besoin que tu ferres mes chevaux. Quand pense tu que se sera possible?

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Je devais être rapide, car mon père remarquerais sans doute mon absence si elle devait être trop prolongé. Quaïs fesait semblant de replacer sa selle et moi j'étais de l'autre coté de sa très belle jument. On se parlait sans se voir pour ne pas éveillez de soupçons.

-Oui! c'est certain que je vais ferrer tes chevaux, pour tout te dire, tu est l'un de mes meilleurs clients, je ne te refuserai rien. Demain, j'ai l'atelier à moi pour une bonne partie de l'avant-midi. Mon père et ma mère vont faire des courses . Fait très attention pareille, au cas où ils ne seraient pas partis. Ça te vas comme ça?

Même s'il avait prit son temps, Qaïs avait vite finit de replacer sa jument. Il fit donc semblant de trouver un gros noeud qu'il "démêla". Puis il acquiessa à son amie.

- Très bien, demain matin je serais là. Tu penses pouvoir en ferrer combien? Parce que tout mes chevaux seraient au moins à vérifier. Mais au pire je t'emmènerais seulement que ceux qui sont... vraiment dû!
Sur ce, il monta sur sa jument et alla vers l'arrière de la forge pour cacher Taylaure. Ensuite, il partit au galop, craignant que son père découvre tout et qu'il le poursuive.

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 02/04/2006

Je rentrais à la forge, inconito, sur la pointe des pieds. Je ne pouvais me permettre de faire le moindre bruit.

Je m'installais dans mon lit, qui était, je dois dire loin d'être confortable. Enfin, demain, je pourrais voir mon ami Quaïs, pour une fois mon père ne pourrais pas m'en empêcher, car il ne va pas être là.

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