Nom : Damas
Prénom : Taylaure
Surnom : Garçonne (seul son père l’appelle ainsi)
Âge : 17 ans
Race : Homme
Royaume habité : Oronnaré
Histoire : Avant plus de dix-sept années, sa mère Danaelle et son père Wadiê, vivaient heureux, dans la joie et l’amour. Un amour qu’ils voulaient démontrer par la conception d’un enfant. La fébrilité accompagna ses parents pendant neuf mois interminables, auxquels ils attentèrent impatiemment de savoir de sexe du bambin. Danaelle espérait une fillette pour pouvoir jouer au princesse, pour peigner des long cheveux et pour bavarder des hommes lorsqu’elle serait plus vielle. Parcontre Wadiê voulait indiscutablement un fils. C’est un vrai homme qu’il deviendrait et non un être chétif. IL serait le futur propriétaire de la forge. Son père lui apprendrait les coriaces rudiment du métier.
L’accouchement se déroula très bien jusqu’à ce que le paternel découvrit le bébé. IL ne bougea plus pendant un moment. Il n’était pas sous le choc, mais en colère. La mère pleurant de joie prit sa fille qu’elle avait t’en désirée. Wadiê se déchaînait et grognait de rage. Avec un élan de violence, il frappa puissamment sa femme et lui cria : ‘ Tu as osé me donner une fille plutôt qu’un garçon. Je ne te le pardonnerai jamais et tu le regretteras toute ta vie, je le jure sur ma propre tête.’ Sur ses mots, il s’enfuit en courant.
Le lendemain, Danaelle tenait sa petite, entourer d’une épaisse couverture que son grand ami le tisserand lui avait offert. La femme marchait, car son mari avait emporté leur cheval. La femme entra dans la forge qui est également sa maison. Wadiê s’acharnait sur le fer qu’il écrouait. Il ne s’était pas cacher bien loin. Il entreprenait son travail là où il l’avait laissé. Elle ne fît aucun bruit pour ne pas déranger le forgeron. Ses pas étaient aussi légers qu’une feuille en automne. Toutefois, L’enfant se mit à crier et pleurer. Sa mère essayait de camoufler les pleurs, mais le terrible Wadiê l’avait déjà entendu. Il se retourna avec un sourire malin. ‘ Notre fille s’appellera Taylaure. Donne-là-moi, je veux la serrer contre mon cœur.’ La surprise et la frayeur s’empara de son épouse. Devait-elle lui apporter? Peut-être avait-il changer? Il est sûrement ravi de voir son magnifique enfant en pleine santé, pensa t-elle.
Il s’en empara brusquement. Il prit un morceau de fer, le bout étant rougit par les flammes dans lequel il y plongeait. Le forgeron empregna chacune des lettres du prénom qu’il avait choisi sa fille. Il prit amplement de plaisir à la faire souffrir. Il voulait quelque chose de pire, quelque chose pour venger sa peine. Soudain, une idée lui traversa l’esprit. Il plaça Taylaure juste au-dessus des flammes et l’a laissa s’abattre sur les charbons brûlant.
Danaelle courra pour délivrer sa fillette de la mort qui l’emportait. Wadiê agrippa sa femme, mais elle réussit à s’échapper. Elle se brûla les mains en voulant secourir son bébé, heureusement elle y parvenu. Ce qui étonna immensément ses parents, c’est que leur enfant n’avait aucune trace de cet événement.
Wadiê décidait de tout, par le fait même, celui qu’elle devait ressembler à un garçon. Pendant sa jeunesse, la petite fille avait toujours les cheveux court. Une chemise trouée et des pantalon appartenant à son paternel, faisait son habit de tous les jours. Dès qu’elle commença à parler et à marcher, elle du apprendre l’art de forger. C’est la seul chose à laquelle son père prenait satisfaction. Il exigeait la perfection et gare à elle s’il trouvait une légère imperfection. Avec les années, le père de Taylaure éteignit un peu la frustration qui l’habitait. Cependant, il ne fallait pas oublier qui étais le maître de la forge.
Maintenant Taulaure a dix-sept ans, elle a un peu plus de liberté Elle a droit à ses cheveux arrivant aux épaules et des vêtement plus propre. Mais, elle le mérite bien, car elle travaille chaque jours pour ses clients et pour améliorer sa technique de forgeronne. Disons que Taylaure est meilleure pour forger des épées que pour s’en servir. Ce qu’elle rêve par-dessus tout est d’être une princesse et d’habiter au château, car la vie royale semble si merveilleuse.
Caractère : Elle est une personne à qui on peut faire confiance. Taylaure tente toujours d’aider son prochain, car elle pense que l’entraide devrait ce trouver dans le cœur de chacun. Mais, elle reste sur ses gardes, car on ne peut deviner la personnalité des gens. Cette jeune femme, adore les enfants, m^me si elle en voit que peut souvent. Les voir rire, sauter et s’amuser la rend heureuse.
Ce qui rend fier cette forgeronne est ses nombreuses épées toutes aussi solides, souples et originales les unes que les autres. Elle les grave tous d’un TD, sur la garde de celles-ci pour que l’ont puissent reconnaître les œuvres qu’elle a crées. Taylaure espère cependant, que ses armes fabriquées serviront à défendre plutôt qu’à combattre.
Physique : La première chose qu’on aperçoit en voyant cette jeune femme est son doux regard. Des yeux hypnotiseurs d’un vert vif. Son sourire en coin et ses lèvres charnues lui donne un petit air coquin. Ses cheveux sont bruns et ne dépassent jamais ses épaules. Pour une fille, elle est assez musclé, parce qu’une forgeronne doit tout simplement l’être.
Elle croit qu’un regard ou un simple sourire peut dire bien plus de chose que les mots eux même.
Attention à tout homme osant s’approcher de Taylaure, car vous contrarierez sûrement son père qui ne voulait au départ qu’un garçon. Sauf, si vous aimez les défis.
Pouvoir : Lorsqu’elle était qu’un bambin, Wadiê son père là jeter dans le feu, sans aucune rancune. Une chance que son pouvoir se soit développé à ce moment. Taylaure ne se brûle pas en compagnie de flammes ou d’une très grande chaleur. Cela s’avère bien utile pour son métier. Ce qu’il y a d’étrange est; ni sa mère ni son père ont un pouvoir quelconque. Alors pourquoi en a-t-elle?
Fonction : Forgeronne
Autres : - Son prénom restera marquer sur sa jambe à tout jamais.
- Sa mère s’est brûlé les mains en sauvant sa fille.
- Danaelle n’a pas pu élever convenablement son enfant, car son mari détestait leurs complicités et il se fâchait régulièrement.
