Un nouveau jour

La personne qui cogna à la porte était un autre homme qui travaillait sur l'écurie.
*Je t'aime bien toi*,pensa Qaïs en ouvrant la porte. Il l'avait sortit d'une situation dont Qaïs se sentait mal à l'aise. Il ne voulait pas déplaire à Abigaïle, mais il était trop timide maintenant pour la regarder. Il savait qu'il baisserait les yeux.
Il s'adressa à l'homme, qui avait l'air plutôt jeune.

- Bonjour, je peux faire quelque chose pour toi?
- Et bien c'est pour vous dire que nous...
Le jeune garçon arrêta de parler et regarda par dessus l'épaule de Qaïs. Celui-ci se retourna et remarqua Abigaïle. Elle portait une très belle robe... elle lui allait à merveille, peut-être un peu trop ce qui fit rougir Qaïs. Il lui sourit timidement et lui dit:

- Heu je vais dehors les aider...

-Je viens avec toi,je dois me changer les idées. dit elle en passant à côté de lui. Elle trouverait bien un moyen de séduire Qaïs coute que coute. Il n'était pas question de laisser partir le garçon le plus parfait à ses yeux entre ses doigts. Elle suivit donc Qaïs et certains hommes qui travaillaient sifflèrent Abigaïle. Elle baissa les yeux timidement et rougis. Elle pris une hache et un homme lui dit:
-Fait attention avec ça tu pourrais blesser quelqun
Elle lui lança un regard assez ténébreux
alors tasse toi si tu ne veux pas l'être.

Abigaïle avait complètement oublié son aile blessée et se dirigea vers des billots de bois qui fallait couper.

Les 10 premiers avait été corecte mais le 11 lui causa une douleur horrible au dos. Elle lachâ sa hache tomba sur les genoux et retint son soufle ainsi que ses lamantations.

Le palefrenier fut surpris par la réponse d'Abigaïle. Il la laissa passer, et se retourna vers le jeune travailleur qui la regardait toujours. Il lui tapota le bras et lui dit:

- Hey, tu ne voulais pas me dire quelque chose?

- Heu.. oui! Nous avons reçu les selles, brides et tout le tralala.

- Super! Je vais aller les voir!
Il se dirigea vers le chariot ou un vieillard se tenait. Il jeta un dernier coup d'oeil à Abigaïle; elle avait l'air de se débrouiller.
Puis, il regarda la marchandise. Tout était nouveau, propre et bien sur sentait bon. Il déchargea le chariot et le monsieur s'en alla.
Il se retourna une fois de plus vers Abigaïle. Elle était à genoux, une main dans le dos. Il courru jusqu'à elle.

- Qu'est-ce que tu as?

Elle pris une bouffé d'air et dit
-Rien,rien dit elle en se levant à bout de souffle,
- un muscle qui doit être déchiré à cause de mon aile, je vais me reposer un peu et j'irai plus doucement lui dit-elle en le regardant droit dans les yeux et lui faisant un sourire timide.
Elle espèrait qu'il se préoccupe d'elle un peu.
Elle repris la hache et s'assit en haletant un peu,elle avait la peau très pâle et des sueurs froides perlentait son front.
-Que ressens-tu pour moi? se dit-elle à peine audible pour qu'il puisse l'entendre.

Il la suivit jusqu'à son petit banc. Qaïs ne voulait pas qu'elle travaille si elle avait un muscle de déchiré alors il prit la hache.

- Si tu es blessée, ne travaille pas. Nous sommes assez de gros bras pour faire tous le travail,lui dit-il en désignant un monsieur muscle.
Lorsqu'elle lui demanda ses sentiments envers elle, il rougit. Il regarda aux alentours voir si quelqu'un avait besoin d'aide, mais tout le monde se débrouillait bien. Il ne voulait pas répondre à sa question, rare était les fois où il exprimait ses sentiments.

- Et bien... ce que j'éprouve pour toi... heu... tu sais... heu...
Il se passa une main dans les cheveux en essayant de trouver quelque chose d'intelligent à dire.

- Écoute. Tu es la première fille que je croise et... je ne sais pas... je ne sais pas ce que j'éprouve pour toi.
Il se senti mal, il pensait qu'il avait été trop direct.
Il tourna les talons et s'en alla en direction de l'entrée.

Abigaïle le regarda s'en aller et regarda le sol en chuchotan tout bas
-je t'aime Qaïs
Des larmes lui vienrent aux yeux et trois gouttes tombère sur le sol elle était aussi pure que du crystal.Elle trouvait Qaïs si beau mais n'arrivait pas à percer son coeur. Pourquoi il était rentré si aisément en elle et qu'elle ne pouvait pas y parvenir.En matière de sollitude Abigaïl était la reine mais en ce qui attrayait à l'isolation c'est Qaïs qui restait le grand champion.
Étant donné que Qaïs lui avait enlevé sa hache elle se dit qu'il ne pourrait pas lui enlever ses mains. Elle se mit donc à corder du bois malgré la douleur qui persistait dans son dos.

N'ayant plus à la tête la reconstruction de l'écurie, Qaïs décida d'aller faire lui même ses comissions au marché. Il alla voir l'homme qui avait l'air de diriger et lui dit qu'il reviendrait bientôt. Il se retourna et vit qu'Abigaïle travaillait encore.
*Elle a une tête dure celle-là! Pas moyen de pas la faire travailler!*
Puis, il s'en alla.

Abigaïle le vit s'en aller elle aurait voulu qu'il reste avec elle. Elle avait la net impression qu'il la fuyait. Elle trouvait si difficile d'aimer cet homme sans savoir ce qu'il ressentait vraiment pour elle. Les hommes qui travaillait sur le chantier était en train de monter certain mur très lours elle laissa tomber les buche pour le donner un coup de main magique elle ne se doutait pas par contre que le mur était aussi lourd. Elle leur dit: je peux vous aidez mais il va falloir vous reculez un peu.
Elle ferma les yeux et une brise se mis à souffler dans les arbres ensuite un tourbillon de vent enveloppa le mur celui-ci se mis à se soulever comme une plume mais Abigaïle avait sous estimée ses forces car le mur pesait beacoup plus que 120 livres. Elle s'éffondra sur le sol le mur aussi et alla s'écraser sur les jambes d'Abigaïle qui était inanimé l'action se passa beaucoup trop vite pour que quelqun puisse faire quelques choses certains soulevèrent le mur pour la décoincé et un parti aux pas de course vers le village pour avertir Qaïs.

En arrivant à l'écurie, Qaïs se précipita sur Abigaïle. Il ne savait pas vraiment quoi faire, mais il savait qu'il ne devait pas la bouger. Un homme lui pointa les jambes. Oserait-il lever sa robe pour voir si elle était blessée? Elle était entourée d'homme! Il la prit doucement dans ses bras et l'ammena dans sa maison. Là, il la coucha sur son lit et s'assit à ses côtés attendant qu'elle se réveille.

Abigaïle se mis à gémir lorsqu'elle se réveilla ses jambes la faisaient souffrir énormément . Des larmes coulèrent le long de ses joues.Elle se sentait si faible,elle se dit que le mur qu'elle avait soulevé était sans doute trop lourd pour la force de ses pouvoir.
-J'ai ... je ... mes jambes elles me font si mal son visage était crispé par la douleur .
-Je m'excuse de te causer autat de soucis je je croyais être capable de soulever le mur... elle versa de longues larmes elle perdit conscience.

Qaïs faisait les 100 pas dans sa chambre lorsqu'Abigaïle se réveilla. Il vint tout de suite à son chevet.
Il n'eu pas le temps de lui parler, mais au moins il savait qu'elle avait mal aux jambes. Il n'osa pas lever sa robe, d'un coup qu'elle se réveillerait et qu'elle le surprenait... Mais surement qu'elle comprendrait qu'il voulait l'aider.
Alors tout doucement il monta le bas de sa robe jusqu'à ses genoux. Ensuite il essaya une seconde fois ses pouvoirs sur elle. Il plaça ses mains sur ses jambes et une faible lumière s'en échapa. Il espérait qu'elle irait beaucoup mieux, elle avait déja une aile de blessée.
Une idée lui vint alors en tête. Il baissa la robe et tourna tranquilement Abigaïle sur le dos, en prenant soin de bien placer sa tête(pour pas l'étoufer!). Puis, il fit le même scénario sur son aile blessée. Lorsqu'il eut finit, il la replaça comme elle était et sorti de la chambre, la laissant se reposer.

Abigaïle dormi pendant une vongtaine de minutes à son réveil tout était confus elle ne se souvenait pas les raison pour lesquelles elle étai dans la chambre de Qaïs. Elle avait l'impression que ses jambe et son dos était engourdi par une étrange chaleur appaisante.
-Qaïs dit-elle
Lorsque celui-ci apparut dans la porte et ses yeux s'illuminèrent en le voyant son coeur se débattait dans sa poitrine elle le trouvait si séduisant.
-Pour...pourquoi je suis ici? je ne me souviens plus trop ce qui s'est passé.

Qaïs avait laissé la porte entre-ouverte et attendait dans la cuisine. Il entendut un faible son venant de la chambre. Il alla jeter un coup d'oeil et vit qu'Abigaïle était réveillée.

- Ah! Enfin! ... Tu ne te souviens vraiment pas pourquoi tu es ici?
D'un côté, il était content parce que probablement que ses jambes ne lui faisaient plus mal. Mais d'un autre, elle ne se rapelait pas... S'était-elle cognée la tête?

- Je t'ai ammenée ici parce que tu as essayé de soulever le mur de l'écurie mais il t'es retombé dessus, sur les jambes. J'ai essayer de te soigner et je pense que ça à marcher.
Il s'assit au bout du lit et prit une de ses jambes. Il la fit articuler lentement.

- Est-ce que ça fait mal?

Les jambes commencèrent à se dégourdirent et Abigaïle ressenti un peu de douleur mais cela était normal puisqu'elle avait eu quelques fracture.
Elle gémit un peu
-Ça me fais un peu mal, mais je ne crois pas que ce soit cassé.
Les souvenirs commencèrent à revenirent en mémoire... Les hommes qui forçaient pour soulever le mur leurs difficulté et le vent et le mur qui se soulevait toutes les images se bousculèrent et tourbillonnèrent dans son esprit. Elle se sentit sombrer... elle murmura
-feuille de thilleul et verveine.
Elle retomba dans l'inconscience

Voyant que sa jambe lui faisait encore mal, Qaïs arrêta de la faire bouger. Il était déçu puisque son pouvoir n'avait pas fonctionné. Il la regarda d'un air découragé. Les seuls bêtes qu'il soignait était les chevaux. Et encore là, il utilisait son pouvoir.
Puis, elle perdit conscience en lui disant "feuille de thilleul et verveine".

- Mais ça veut dire quoi!
*Probablement des plantes... Qu'elle a dans sa besace? Est-ce que je dois fouiller? Et ça ressemble à quoi? Je devrais peut-être attendre qu'elle se réveille. Ou aller chercher de l'aide.
Sur ce, il se précipita à l'extérieur.

- Messieurs, y'a-t-il quelqu'un entre vous qui sache soigner quelqu'un?
Par chance, un s'approcha. Qaïs le conduisit à l'intérieur et le laissa seul avec Abigaïle.

Qaïs s'assit à la table et se roula les pouces attendant une réponse. Enfin, l'homme sortit de la chambre. Le palefrenier se leva et se lança sur lui.

- Alors, comment va-t-elle? Va-t-elle mieux?

- Elle va bien, je pense que ce n'est que la fatigue. Laissez-la se reposer un peu et elle devrait aller mieux. En fait je crois, je ne suis pas qualifier médecin, j'ai une base seulement.

Sur ces mots rassurants, Qaïs alla jeter un dernier coup d'oeil à Abigaïle avant de partir.

* Il est grand temps que j'aille ferrer mes chevaux.*
Il sortit de la maison et alla chercher un cheval, l'harnacha et alla chez le forgeron.

Au bout de de plusieurs heures Abigaïle se réveilla. Elle ne savait plus si s'était la nuit ou le jour. Elle avait mal à la tête. Elle s'assit et appela Qaïs il était absent. Elle s'assit et posa ses pieds sur le sol. Elle n'avait plus mal. Elle se leva tout doucement et se saisit de son sac ainsi que de la caraffe d'eau qui était sur le bureau à côté d'elle. Elle se dirigea vers la cuisine.Elle se saisit d'un chaudron et y versa le contenu de la caraffe. Elle y déposa des herbes et alluma le feu pour faire bouillir le tout. Lorsque tout se mis à bouillir elle pris une louché de la potion qu'elle avait fais et le mis dans une tasse. Elle se dirigea vers la table et se mis à sitoté sa thisane. Son mal de tête diminua d'intensité. Elle commençait à se rappeler des évènement de la journée.
-Qu'est-ce que je peut-être idiote dit-elle à elle même

Qaïs revint chez lui tout heureux. Il avait vut Taylaure. Il s'était ennuyé d'elle, sa faisait longtemps qu'ils s'étaient vus. Mais une chose le tracassait: pourquoi son père était-il autant désagréable avec lui? Il n'avait pourtant rien fait pour mériter ça! Peut-être avait-il peur que Qaïs lui vole sa fille chérie. Mais pour ça, aucun problème. Il considérait Taylaure comme une très bonne amie, rien de plus. De toute façon, il aurait bien trop peur de la réaction de M. Damas pour lui faire des avances!!
Il n'entra pas dans sa maison tout de suite. L'écurie avait drôlement avancer et il voulait voir les progrès. Il s'occupa aussi de sa jument.

Elle fini de boire sa tisane et se dit que Darktac s'ennuyait sans doute. Elle se dit que Qaïs ne verrait pas d'objection à ce qu'elle donne une carotte à son cheval adoré. Elle pris une carotte et se dirigea vers l'enclos de Darktac elle vit aussi Qaïs avec une jument. Elle donna la carotte à son étalon de la couleur de la nuit et se dirigea en cloipinant vers Qaïs.

-Je je je voulais m'excuser pour tous le soucis que je te cause et je crois qu'il serait mieux pour toi que je ne réside plus chez toi je te cause trop d'ennuis avec ma maladresse légendaire et je crois que j'ai besoin de réfléchir et je ... je t'aime Qaïs et je ne crois pas que tu éprouve les mêmes sentiments à mon égard et et je je te remercie de de ton hospitalité.

Abigaïle avec les yeux remplient de larmes amères qui lui pesait énormément mais elle n'était pas capable d'affronter la distance que Qaïs mettait entre elle et lui elle n'était pas capable de le deviner.

Elle se recula et se dirigea vers la maison chercher sa besace et c'est vêtements qui n'avaient pas encore été nettoyé.

Qaïs était retourné s'occuper de sa jument. Il l'avait déharnachée et brossée. Il s'appretait à le remettre au champs lorsqu'Abigaïle lui coupa le chemain. Il fut boulversé d'apprendre ce qu'elle avait sur le coeur. Il alla porter sa jument et alla la rejoindre dans sa maison à la course.

- Écoute Abigaïle, je ne sais pas si tu va comprendre, mais ça fait dix-sept ans que je vis seul. Pratiquement personne ne vient me voir. Les chevaux sont ma seul raison de vivre, sinon il y aurait longtemps que je ne serais plus de ce monde.
Ma mère a disparut après m'avoir donné vie. Mon père et mon grand-père son mort dans un incendit quand j'avais 8 ans. Et jusqu'à aujourd'hui, je me suis habitué à la solitude, a faire mes petites affaire par moi-même.
Je ne dis pas que j'éprouve rien pour toi, mais est-ce que tu peux comprendre comment je me sens d'avoir quelqu'un avec moi pour la 1ère fois en dix-sept ans? Je ne sais pas si je peux aimer quelqu'un, mon père n'a jamais eu le temps de m'apprendre ce que c'était l'amour. Je voudrais bien que tu restes, mais comprends que c'est tout nouveau pour moi. Je suis de nature solitaire et même si parfois je te parait froid, ne pense pas que je te déteste. Je ne sais juste pas ce que j'éprouve pour toi.

Il avait la gorge serrée. Il n'avait jamais parlé de ses sentiments à personne. Il alla à l'extérieur, à l'arrière de sa maison où un petit ruisseau coulait. Il s'aspergea le visage avec un peu d'eau.

Abigaïle le suivit à l'extérieur et pris la main de Qaïs dans les siennes.

-L'amour ne s'apprend pas Qaïs c'est une chose qui arrive soudainement. Je suis solitaire moi aussi et cela ne m'a pas empêcher de tomber amoureuse de toi. J'avais appris à détester les personnes à me méfier d'eux et toi tu as eu l'effet d'une bombe sur mon coeur. Je t'aime Qaïs et tu es la première personne à qui je dédit ses mots.
Elle pris la main de Qaïs et la déposa sur sa poitrine où on pouvait sentir un coeur qui battait très vite et très fort.

-L'amour se ressent comme ça, le coeur qui palpite, l'impression que tout tourne et qu'il n'y a plus d'air autour de nous. Ensuite on fais des bêtises parqu'elle nous rend aveugle.L'amour c'est un sentiment qui ne peux s'apprendre tu es amoureux ou tu ne l'es pas par contre il est indescriptible et si il faut que je patiente je patienterai mais je voulais que tu saches ce que je ressent car l'amour est un sentiment tellement puissant qu'il engourdi tout, ma raison de vivre, mes sens, elle est cruelle et douce à la fois. Je te force pas à m'aimer je te demande juste pendant une seule seconde d'être à l'écoute non pas de ta raison mais de ton coeur.
Elle déposa la main de Qaïs sur la poitrine de celui-ci où il pouvait sentir son coeur.Elle se redirigea vers la maison pour aller chercher ses effets.

Qaïs écouta attentivement ce qu'Abigaïle lui disait. Il se sentit un peu mal de lui faire de la peine parce qu'il ne l'aimait pas, mais ce n'était pas de sa faute! Il ne savait vraiment plus quoi penser. Qu'est-ce qu'elle attendait de lui? Qu'il se mette à genoux et qu'il lui chante qu'il est amoureux d'elle? Il se tourna et regarda son reflet dans le ruisseau. Lorsqu'elle partie, il donna un coup de pied furieux dans ce qu'il voyait dans l'eau(lui).

*Pauvre idiot! Tu lui brise le coeur et on dirait que tu t'en fou!*
Il ne savait plus quoi penser. Une chose était sur, Abigaïle devait rester chez lui. Il partit alors à la course jusque dans sa maison. Abigaïle était prete à partir, mais il se plaça devant elle, lui bloquand le chemain et l'obligeant à l'écouter. Il plaça ses mains sur l'épaule de la jeune femme et commença.

- Écoute heu... je ne sais pas par où commencer. C'est confus dans ma tête. Il s'est produit de terrible évènement ces temps ci. Je dois penser à tout, arriver à gérer tout. Ne pars pas s'il te plaît! Ne pars pas! Je... je... je veux que tu restes, ne pars pas juste parce que je ne t'aime pas, je t'en pris, reste avec moi!
Il la serra juste assez fort dans ses bras pour qu'elle comprenne qu'il tenait à elle, mais rien de plus.

- Ne pars pas.. Laisse moi le temps de te connaître et de passer au travers de tout ce qui ce passe en ce moment.

Lorsque Qaïs lui barra le chemin et qu'il la serra tout contre lui elle senti son souffle se couper. Des larmes coulèrent le longs de ses joues. Elle ne savait pas quoi faire son coeur disait de rester mais sa tête disait de partir. Elle se réfugia dans son cou pendant un instant. Elle se défit de son étreinte.
-Je...je...je...vais rester mais ne me demande pas de faire semblant à propos de ce que je ressent pour toi. En fais laisse moi te démontrer ce que c'est.De ce qu'est l'amour.

Dit-elle les yeux rempli de larmes.

Un sourir se dessina sur les lèvres de Qaïs. Puis il regarda à l'exterieur; l'écurie achevait et le soleil commençait à baisser. Il se tourna vers Abigaïle et dit:

- Je vais leurs dire de partire et je reviens faire le souper.
Il ouvrit la porte et remercia chaleureusement les hommes qui avaient bâtit l'écurie en leur demandant de repasser le lendemain. Ensuite il entra et alla préparer le souper.

- Alors que veux tu manger?

-heu je ne sais pas qu'as-tu à me proposé?
Je ne suis pas bien difficile tu sais je suis habituée de manger des racines, des baies alors tout ce que tu peux me mettre dans mon assiette risque de disparaitre très vite. Mais je me souviens que ma mère faisait souvent des chose sucrés et j'adorait il y a si longtemps que je n'ai pas mangé de pâtisseries j'en n'ai oublié le gout mais je ne crois pas que tu sois capable d'en faire?