Un nouveau jour

Abigaïle dormait toujours dans le lit de Qaïs elle rêvait paisibleent lorsqu'elle rêva d'une horible créature que essayait de l'entrainer dans un lac sombre. Elle se réveilla en criant nonnnnnn!!!!!! Ses cheveux étaient trempent et collaient sur ses tempes. La chemise que Qaïs lui avait prêté aussi elle frissonnait et vit Qaïs dans la porte un peu paniqué.
-Je n'ai rien juste un cauchemard désolé, elle baissa la tête.

-Mon aile dit-elle je crois qu'elle est corecte et je m'en fiche éperdument je pourrait ne pas les avoir et je m'en porterait encore mieux. C'est affreux des ailes! dit-elle en baissant son visage rapprochant ses genoux de celui-ci deux larmes coulèrent sur ses joues elle les essuya subitement. Elle n'aimait pas se montrer faible,elle n'aimait pas montrer ses émotions aux personnes. Elle se leva et dit qu'elle metrait ses propre vêtements. Je vais m'habiller et te rejoindre après dit-elle en faisant un sourire timide. Je vais bien ne t'inquiète pas.

Elle le suiva des yeux et décida de le suivre. Je croyais qu'ils était déjà propre je vais garder cette chemise pour le moment et j'irai chercher quelque chose de plus présentable au village. Elle s'assit et le regarda elle le trouva tellement amusant et séduisant à la fois. Elle huma le plat devant elle et dit -Ma foi cela m'a l'air délicieux. Elle gouta et dit c'est même divin. Elle pris une boucher d'oeuf de pain. Elle but aussi du lait. Elle ne se rendit point compte qu'elle avait une moustache de lait et dit c'étais vraiment bon lui dit elle en souriant. Je te remerci pour ce petit déjeuner. Si je continu ainsi je vais prendre au moins 3 kilos dit-elle en souriant.

Elle vit que quelques chose clochait et se regarda dans un miroir et se mis à rire elle s'essuya le bec et le remercia de lui avoir donner une serviette. Tu n'aime pas les filles qui ont des moustache dit elle en riant. Elle se mis à rougir ensuite ,elle n'était pas habitué de sourire même pour des chose aussi futile en fait Quaïs était la première personne après sa mère et son père à la faire sourire.

Abigaïle le vit partir au pas de course dans sa chambre qu'il avait omis de fermé. Elle regardait les gens qui commençaient à travailler et se dit que son pouvoir pourrait surement les aider. Elle se mis dos à la porte et demanda à Qaïs un pantalon biensur il serait sans doute trop grand mais avec de la corde ou une ceinture ça ferait l'affaire pour aller chercher des vêtements un peu plus féminin par la suite.

Abigaïle enfila le pantalon et par miracle il lui faisait un peu lasse à la tête mais il lui faisait. Elle le vit s'éclipser en vitesse et le suiva doucement elle sorti à l'extérieur pour voir ce qu'il y avait à faire. Elle pris une branche et commença à tracer des trucs dans le sol cela ressemblait vaguement à un plan. Elle s'approcha de Qaïs et lui dit
-Que veux-tu que je fasse chef dit-elle en souriant.

-Et bien toi va chez le forgeron et moi j'irai chercher les trucs dont tu as besoin, tu n'a qu'a me donner une liste et j'irai le faire d'accord.
Lui dit-elle en souriant.
-De toute façon je dois aller me cehrcher des vêtements,ce n'est pas que j'aime pas les tien mais c'est un peu trop grand pour moi et mes ailes et bien sont très à l'écart dans ta chemise.
Elle lui fit un doux sourire, ses yeux pétillaient et étincelaient au Soleil , son visage doux comme de la soi réfètait les rayons d'or comme un ange illuminé. Ses lèvre étaient aussi rouge que ceux d'une framboise qui veut se faire cueillir à l'aube d'un matin rempli de rosé. Ses cheveux détaché virvoletait dans une brise légère et donnait à Abigaïle une impression qu'elle était plus légère qu'une plume. Elle baissa les yeux en entendant la réponse de Qaïs.

Abigaile pris la liste et se demanda ce qui lui prenait elle se sentait si étrange en compagnie de Qais. Elle regarda la liste et la mis dans sa poche. Elle se rendi donc vers le village.

suite dans le village.

Abigaile revient en coup de vent robe sur un bras. Elle avait l'air boulversée et furieuse en même temps. Elle se dirigea vers la porte de chez Qaïs celle-ci comme par magie s'ouvra brutalement. Abigaïle laissa tomber la robe sur une chaise et parti s'enfermer dans la chambre de Qaïs. Elle s'enroula dans les couverture se réfugia la tête dans l'oreiller et se mis à pleurer.

Il y a une femme qui m'a dit de ne pas retrouver mes parents au village comment a-t-elle su que je les cherchait personne ne le sais.
Elle alla se réfugier dans les bras de Qaïs et pleura.
Elle avait horeur que des gens la décourage et se demandait vraiment pourquoi elle voulait absolument retrouver sa famille. Pourquoi l'avait elle abandonné se dit-elle.

-Non je veux que tu reste ici avec moi dit-elle en se reculant doucement les yeux bouffis et rouge. Ses yeux avait pris une couleur azurés comme l'océan. Elle regardait Qaïs timidement.
-Je n'aurais pas du agir ainsi je suis tellement découragé si mes parents m'ont abandonné c'est qu'ils avaient une bonnes raisons non qu'elle parents abandoneraient ainsi son enfant.
Elle soupira en regardant Qaïs et elle un geste irréfléchis un geste qu'elle se retenait de faire et elle le fit.
Elle embrassa Qaïs sur les lèvres.

Abigaile voyant que Qaïs était figé se recula et se senti très malalaise elle ne savait même pas si il ressentait quelques chose pour elle et la question lui vint en tête. Elle avait les joue rouge et ne dit aucun mot. Après quelques minutes de silence qui parurent des heures aux oreilles d'Abigaile.
-Je n'aurais pas du désolé,c'étais déplacé de ma part... dit elle timidement tête baissée.

Abigaile vit Qaïs s'éloigner à une vitesse incroyable elle se dit que celui ne devait point l'aimer puisqu'il avait à peine réagit et qu'il n'avait rien dit pour la contredire elle soupira et se demanda pour qu'elle raison il ne l'aimait pas. En se regardant dans un miroir qui était dans la chambre et vit ses deux ailes. Celle qui l'avait isolé dans le village,celle qui lui valait des regards méfiant,plus elle se regardait plus elle se dégoutait et elle soupira. Elle détourna son regard du miroir et vit la robe qui trainait sur le sol. Elle retira les vêtement qu'elle portait et enfila la robe de couleur pastel. Elle se rendit compte qu'il y avait une espace pour ses ailes. La robe lui allait parfaitement et épousait ses courbes parfaitement sans trop de décolté. Elle sortit de la chambre pour savoir qui avait cogné et interrompu la conversation. Interieurement elle était bouleversée et ressentait un mélange de colère.de honte et de passion. Elle regarda de dos l'homme pour qui elle avait envie de donner sa vie mais qui selon elle ne l'aimerait sans doute pas.